Blog

  • Langourla 2018

    • Le 22/08/2018

    Deuxième année à Langourla pour le festival de jazz.

    Après le plaisir de suivre la masterclass jazz manouche l'année dernière avec Daniel Givonne, cette année a eu son lot de moments forts.

    Comme d'habitude, une ambiance très chaleureuse, d'excellents concerts, et des échanges musicaux qu'on est pas prêts d'oublier.

    alors, nous avons particulièrement aimé :

    - le Trio Aïres (mais sans Airelle Besson, remplacée au pied levé de manière magistrale)., pour leur inventivité, leur sensibilité, le voyage et l'émotion.

    - David et Thomas Enhco. Une virtuosité jamais gratuite, beaucoup de chaleur, une sensation d'avoir toujours été leur ami.

    - Marian Badoï Quartet. Leur générosité, la fête tzigane, d'une virtuosité époustouflante, mais avec un vrai dialogue, une écoute hors du commun.

     

    ... et puis Jazz de bazz, les pétillants animateurs des incontournables afters au bar du narguilé, la surprise de la sélection minute au tremplin dans un improbable duo avec un jeune harpiste traditionnel qui découvrait tout juste l'univers du jazz.

  • Fest Jazz 2018

    • Le 31/07/2018

    Pour la première fois, nous sommes allés à Chateauneuf du Faou cet été pour le festival Fest Jazz.

    A part la météo, l'expérience a été vraiment sympa, beaucoup de groupes orientés très New Orleans, du très bon spectacle, et une particularité unique à ce festival : l'omniprésence de la danse, en couples,  aussi bien lors de cours que pendant les concerts.

    On a particulièrement apprécié :

    • les Mamma Shakers, infatigables, pleins de bonne humeur, ils ont mis du soleil sous le ciel gris.
    • Shake'em up jazz band, 6 filles à l'énergie débordante.
    • Hazel O'connor, entre Irlande, rock, et des notes jazzy, une belle générosité.
    • Galaad Moutoz swing orchestra, ça a le son d'un big band, le rythme d'un Big band, la présence d'un big band... mais ce n'est pas un big band !
    • Le trio Rosenberg, le jazz manouche aussi émouvant qu'éclatant.
    • Big Daddy Wilson, du pur blues mâtiné de reggae, une voix caverneuse, ronde, chaude, comme on les aime, et le gros son.

    On reviendra !

    En attendant, quelques photos à voir dans l'album.